Accident vasculaire cérébral et prévention du risque

Accident vasculaire cérébral et prévention du risque

Un AVC, ou «attaque cérébrale», survient lors de l'interruption de la circulation sanguine dans un territoire cérébral. L’absence de sang oxygéné dans cette partie du cerveau mène à la destruction du tissu cérébral affecté dans les minutes qui suivent l’interruption de la circulation.

L’AVC a deux causes principales:

  • l'obstruction d'un vaisseau sanguin menant le sang au cerveau (ischémie);
  • la rupture d’un vaisseau sanguin (hémorragie).

Les «attaques ischémiques transitoires» (AIT) sont provoquées par les mêmes causes que l’AVC ischémique. Mais l’interruption de la circulation est suffisamment courte pour permettre une récupération spontanée du patient dans les minutes ou les heures qui suivent.

L'arrêt brutal de l'irrigation sanguine du cerveau qui caractérise l'accident vasculaire cérébral entraîne une privation d'oxygène dans les zones cérébrales touchées.

Il s'agit d’une urgence médicale qui peut être fatale. Dans la moitié des cas, il entraîne des séquelles d’autant plus invalidantes que la prise en charge aura été effectuée tardivement.

Dans le monde, les AVC sont la deuxième cause de mortalité, aussi bien dans les pays développés que dans ceux en développement.

Dans 80 % des cas, l'AVC est secondaire à l'interruption de l'irrigation d'une partie du cerveau provoquée par un caillot qui obstrue une artère. On parle alors d'AVC ischémique ou d'infarctus cérébral. Dans les 20 % de cas restants, l'AVC est le fait d’une hémorragie cérébrale.

Après la survenue d’un premier AVC, le risque de récidive est important car il est estimé entre 30 et 43 % dans les cinq années qui suivent.

LES SIGNES DE L’AVC

  • des étourdissements et une perte soudaine d’équilibre;
  • un brusque engourdissement, une perte de sensibilité ou une paralysie du visage, d’un bras, d’une jambe ou d’un côté du corps;
  • de la confusion, une difficulté soudaine à s’exprimer ou à comprendre;
  • une perte soudaine de la vue ou une vision trouble dans un seul oeil;
  • un mal de tête subit, d’une intensité exceptionnelle, accompagné parfois de vomissements.

Dans tous les cas, on doit contacter les services d’urgence le plus rapidement possible.

LES PERSONNES A RISQUE :

  • Les personnes ayant déjà eu un AVC
  • Les personnes atteintes d’un trouble cardiaque (anomalie d’une valve cardiaque, insuffisance cardiaque ou arythmie cardiaque) et celles qui ont récemment eu un infarctus du myocarde. La fibrillation auriculaire, une forme d’arythmie cardiaque, est particulièrement dangereuse, parce qu’elle amène le sang à stagner dans le coeur; cela entraîne la formation de caillots sanguins. Si ces caillots circulent jusqu’aux artères du cerveau, ils peuvent causer un AVC; 
  • Les personnes diabétiques. Le diabète contribue à l’athérosclérose et réduit la capacité de l’organisme à dissoudre les caillots sanguins; 
  • Les personnes qui souffrent de migraines; 
  • Les personnes atteintes d’apnée du sommeil. L’apnée peut entraîner une hausse de la pression sanguine et contribuer à la formation de caillots sanguins; 
  • Les personnes ayant un nombre élevé de globules rouges dans le sang (polyglobulie); 
  • Les personnes dont un proche parent a été atteint d’un AVC.

LES FACTEURS DE RISQUE :

  • L’hypertension. C’est le facteur de risque le plus important. La haute pression sanguine affaiblit la paroi des vaisseaux sanguins, y compris ceux du cerveau;
  • L’hypercholestérolémie. Un taux élevé de cholestérol ou de triglycérides contribue à l’athérosclérose et au durcissement des artères.
  • Le tabagisme. Il contribue à l’athérosclérose. De plus, la nicotine agit comme un stimulant cardiaque et augmente la pression sanguine. Quant au monoxyde de carbone présent dans la fumée de cigarette, il réduit la quantité d’oxygène qui parvient au cerveau, parce qu’il se fixe sur les globules rouges à la place de l’oxygène;
  • L’obésité;
  • Une mauvaise alimentation;
  • La sédentarité;
  • Un stress chronique;
  • L’excès d’alcool ou de drogues dures, comme la cocaïne;
  • La prise de contraceptifs oraux, surtout dans le cas des femmes qui sont à risque et qui ont plus de 35 ans;
  • L’hormonothérapie de remplacement administrée au moment de la ménopause (elle augmente légèrement le risque).

LES MESURES DE PREVENTION CONTRE L’AVC

  • Ne pas fumer; 
  • Éviter les excès d’alcool; 
  • Pratiquer une activité physique dans son quotidien; 
  • Maintenir un poids santé. 
  • Faire de bons choix alimentaires : l’alimentation influe sur plusieurs facteurs de risque d’AVC.
  • Apprendre à mieux affronter le stress;
  • Changer de méthode contraceptive si c’est nécessaire. Les femmes de plus de 35 ans qui prennent une pilule contraceptive et qui sont considérées comme à risque (parce qu’elles fument ou parce qu’elles ont une tension artérielle élevée…) devraient opter pour une autre méthode contraceptive, comme un dispositif intra-utérin ou une pilule qui ne contient que de la progestérone.

UN SUIVI MEDICAL EST PRIMORDIAL

Consulter son médecin à la fréquence recommandée par celui-ci. Lorsqu’un patient court un risque élevé d’avoir un AVC, le médecin peut écouter au stéthoscope le bruit de ses artères carotides. S’il soupçonne qu’une artère est touchée par l’athérosclérose, il recommande une échographie Doppler des carotides. Cet examen permet de connaître le degré de rétrécissement de l’artère;

Surveiller régulièrement sa tension artérielle et, si on souffre d’hypertension, la traiter, même si elle est asymptomatique. Il s’agit du facteur de risque le plus important à contrôler. 

Procéder régulièrement à un bilan des lipides sanguins.

Vérifier ou faire vérifier régulièrement sa glycémie dans le but de prévenir le diabète. 

Consulter son médecin sans tarder en cas de rythme cardiaque anormalement rapide ou irrégulier;

Traiter une maladie cardiaque. 

La Cytamphology peut-elle vous aider ?

La Cytamphology est une science basée sur l'exploitation d'une énergie naturelle émise par les principes actifs des végétaux. Elle permet à la personne de se réharmoniser, de se renforcer pour un retour à l'équilibre.

Elle agit aussi bien à titre préventif que lorsque la pathologie est installée.

Dans le cadre de l’accident vasculaire cérébral, nous vous proposons les produits suivants : 

066 : permet d’obtenir une bonne fluidité sanguine.

069 : prévient les cholestéroloses. A associer au 004.

004 : pour que l’organisme synthétise le cholestérol correctement.

092 : pour un taux de triglycérides satisfaisant.

728 : permet de conserver une bonne élasticité des artères qui ont tendance  à durcir avec l’âge.

604 : permet une bonne oxygénation cellulaire.

Tous ces produits constituent un programme de base en lien avec les AVC.
Pour un programme personnalisé au plus près de vos besoins nous restons à votre disposition.